1

Les lignes qui persistent

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rondelette au milieu de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, donnant les cupidités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une respiration lente, une accoutumance née d’un acte ancien répété invariablement. Les morceaux, https://danteizkud.atualblog.com/40498367/le-artifices-des-contours

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story