En 1953, au cœur d’une Pologne figée dans le silence de l’après-guerre, la petite gare de Królów n’accueillait plus pas de voyageur. Les rails rouillés, les quais vides, les horloges arrêtées depuis des générations formaient un théâtre solitaires que seule occupait Jadwiga, passée guichetière restée par adoration , ça vaut https://stephenmyhot.develop-blog.com/41187716/les-passagers-sans-surnom