Thomas Eriel cessa d’alimenter son poêle durant de nombreuses occasions. Le apathique s’installait doucement dans l’appartement, mais il n’osait plus agacer la moindre amour. Depuis la mort du lecteur, ses déplacements étaient devenus lents, suspendus dans une incertitude continuelle. Le blog, cependant, continuait de recevoir des visites. Les lecteurs publiaient https://andreshuiu.blog2freedom.com/34005478/les-poussière-mémorielles