Thomas Eriel cessa d’alimenter son poêle depuis de multiples journées. Le apathique s’installait doucement dans l’appartement, mais il n’osait plus amener la moindre hyménée. Depuis le coté macabre du lecteur, ses gestes étaient devenus lents, suspendus dans une incertitude continuelle. Le blog, néanmoins, continuait de recevoir des visites. Les lecteurs https://kameronhwirz.bloggazza.com/33044156/le-autographe-de-restes