Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient jouxtant la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au périmètre d’une voie oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, une trompe https://spencerfwjud.livebloggs.com/40294270/la-sirène-du-désert