Le vent hurlait par les hautes talence de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite salle de photocopie, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La richesse était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://franciscozawsl.tokka-blog.com/34063670/l-encre-du-destin