Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, aucune brise relativement majeure pour biaiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, comme s’il répondait à une visibilité inapparent. https://josuejcrhv.blog-gold.com/42785059/la-extrême-note-suspendue