Le théâtre s’élevait au cœur de la ville, pénible nonobstant ses murs fissurés et son société décolorée. Abandonné sur plus d’un siècle, il avait autrefois accepté les grands musiciens de son temps. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses sentiers désertes. Arthur poussa doucement les portes https://wernern888nhz0.sharebyblog.com/profile