Le manoir se dressait, astreignant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les sentiers envahies par les ronces, une constitution de verre et métallisé résistait encore au siècles : une serre oubliée, dissimulée en arrière un mur de végétation sauvage. https://emilianojkyjv.blogdemls.com/33669130/le-jardin-des-obscurités-statiques