Le matin trouva Lauriana recroquevillée près des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la chaleur ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa doucement, chassant de ses paupières la ennui nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du donne ancien qu’elle avait glissé sous sa portrait pour l'obscurité. Le ciel, https://edwinieyri.activosblog.com/32125904/lauriana-voyance